Lors du premier bilan d’exercice suivant sa reprise de l’officine, Nicolas Confaits a constaté un écart d’inventaire de 20 000 euros qu’il a associé à la démarque inconnue.
Afin de lutter contre ces pertes, le pharmacien a souhaité s’équiper d'un système de vidéosurveillance.
Aujourd’hui, l’inventaire "se passe sans difficulté, ni mauvaise surprise grâce au système de vidéosurveillance qui a été amorti seulement en l’espace de 3 mois."
« Les capacités d’enregistrement, de recherche, d’extraction et tout simplement la précision du système IP m’ont convaincu » explique le pharmacien.
Les vols étant constatés a posteriori dans 60% des cas, le pharmacien peut désormais réaliser des recherches chronologiques à l’aide de la solution logicielle.
« En cas de doute, je n’ai besoin que d’une minute pour repérer le moment où le produit manquant a quitté sa place sur le linéaire » explique-t-il.
Il a alors été constaté que 80% des vols constatés à la pharmacie étaient commis par des clients habituels que la direction n’aurait jamais soupçonné!...
Comme il s’agit principalement d’habitués, leur identification s’en trouve facilitée pour le pharmacien qui peut aussitôt les contacter afin de leur proposer de rendre les produits ou d’être confrontés à la police. « Détenir une preuve vidéo est extrêmement persuasif, nous n’avons généralement pas besoin de faire appel aux services de police » explique M. Confaits.
Selon un communiqué d'Axis Communications, le système lui permet également de pouvoir consulter les caméras depuis son domicile, en dehors des heures d’ouverture de l’officine, lorsqu’une alarme est déclenchée. A distance, il peut ainsi juger de l’utilité d’une intervention. Le pharmacien peut aussi évaluer, depuis son bureau situé à l’arrière de l’officine, l’importance du flux de visiteurs et venir aider au comptoir sans qu’un collaborateur ne vienne le prévenir.Bref, nous pourrions parler de véritable vidéogestion!
Afin de lutter contre ces pertes, le pharmacien a souhaité s’équiper d'un système de vidéosurveillance.
Aujourd’hui, l’inventaire "se passe sans difficulté, ni mauvaise surprise grâce au système de vidéosurveillance qui a été amorti seulement en l’espace de 3 mois."
« Les capacités d’enregistrement, de recherche, d’extraction et tout simplement la précision du système IP m’ont convaincu » explique le pharmacien.
Les vols étant constatés a posteriori dans 60% des cas, le pharmacien peut désormais réaliser des recherches chronologiques à l’aide de la solution logicielle.
« En cas de doute, je n’ai besoin que d’une minute pour repérer le moment où le produit manquant a quitté sa place sur le linéaire » explique-t-il.
Il a alors été constaté que 80% des vols constatés à la pharmacie étaient commis par des clients habituels que la direction n’aurait jamais soupçonné!...
Comme il s’agit principalement d’habitués, leur identification s’en trouve facilitée pour le pharmacien qui peut aussitôt les contacter afin de leur proposer de rendre les produits ou d’être confrontés à la police. « Détenir une preuve vidéo est extrêmement persuasif, nous n’avons généralement pas besoin de faire appel aux services de police » explique M. Confaits.
Selon un communiqué d'Axis Communications, le système lui permet également de pouvoir consulter les caméras depuis son domicile, en dehors des heures d’ouverture de l’officine, lorsqu’une alarme est déclenchée. A distance, il peut ainsi juger de l’utilité d’une intervention. Le pharmacien peut aussi évaluer, depuis son bureau situé à l’arrière de l’officine, l’importance du flux de visiteurs et venir aider au comptoir sans qu’un collaborateur ne vienne le prévenir.Bref, nous pourrions parler de véritable vidéogestion!