
En effet, pendant trois heures, de nuit, le mini-drone DT-18 a survolé un tronçon de 17 kilomètres entre les gares de Lavaur et de Damiatte. Le drone était équipé d'un capteur vidéo à capacité diurne et nocturne. Les données du drone étaient retransmises en direct sur une station au sol. L'opération n'a pas pris en flagrant délit des voleurs de câbles car il s'agissait d'une simple expérimentation. En revanche, ce test a mis en évidence la capacité du drone et de sa caméra à bien discriminer les éléments dans la nuit. Comme le train qui passe, des gens qui se déplacent le long des voies...
Les possibilités des drones dans la surveillance des sites industriels
Delair-Tech a été fondé par quatre personnes dont certaines travaillaient précédemment dans l'industrie pétrolière. “Nous sommes partis du constat qu'il était difficile de surveiller certaines installations industrielles comme les pipelines, précise Michaël de Lagarde, président de Delair-Tech. Il y a bien la surveillance par hélicoptère ou par avion. Mais elle coûte chère et elle est peu réactive. Face à cela, le drone constitue une solution plus abordable et rapide puisqu'on le déploie en cinq minutes.”
Le dernier-né des drones à applications majoritairement civiles, le DT-18, vient d'être utilisé pour la SNCF. Il ne pèse que deux kilos, a une autonomie de deux heures et peut parcourir jusqu'à 100 km à une vitesse de 50 km/h de moyenne. Equipé d'un appareil photo ou d'une caméra, ce drone réalise soit des opérations de surveillance préventive, en cartographiant le site industriel, soit des opérations de surveillance d'urgence. “Dans ce deuxième cas de figure, nous allons davantage nous appuyer sur la capacité du DT-18 à transmettre des données à la station au sol en temps réel et ainsi faciliter l'intervention, intervient Michaël de Lagarde. Les applications sont multiples. Nous avons ainsi assuré la surveillance préventive de gazoducs pour GDF et GRT Gaz. Nos drones ont également effectué une mission de surveillance d'incendie pour le Service départementale d'incendie et de secours (Sdis) de Haute-Garonne.”
Delair-Tech : une entreprise d'avenir…
En novembre, 3 millions d’euros ont été injectés pour accélérer la croissance de Delair-Tech sur le marché du drone civil professionnel. “Nous avons pu ainsi constituer un outil de production industriel capable de fabriquer 100 drones cette année, annonce Michaël de Lagarde. Ce qui nous permet d'envisager de vendre nos solutions à l'international. Un nouveau drone – le DT 26 – est également en cours d'essai. Nous visons un lancement commercial pour l'été 2014. Il s'agira d'une version plus robuste du DT-18 puisque ce mini-drone devrait pèse 7 kg. Le DT-26 aura trois heures d'autonomie pendant lesquelles il pourra parcourir jusqu'à 200 km. Il pourra voler aussi malgré des vents de 70 km/h.”
Les possibilités des drones dans la surveillance des sites industriels
Delair-Tech a été fondé par quatre personnes dont certaines travaillaient précédemment dans l'industrie pétrolière. “Nous sommes partis du constat qu'il était difficile de surveiller certaines installations industrielles comme les pipelines, précise Michaël de Lagarde, président de Delair-Tech. Il y a bien la surveillance par hélicoptère ou par avion. Mais elle coûte chère et elle est peu réactive. Face à cela, le drone constitue une solution plus abordable et rapide puisqu'on le déploie en cinq minutes.”
Le dernier-né des drones à applications majoritairement civiles, le DT-18, vient d'être utilisé pour la SNCF. Il ne pèse que deux kilos, a une autonomie de deux heures et peut parcourir jusqu'à 100 km à une vitesse de 50 km/h de moyenne. Equipé d'un appareil photo ou d'une caméra, ce drone réalise soit des opérations de surveillance préventive, en cartographiant le site industriel, soit des opérations de surveillance d'urgence. “Dans ce deuxième cas de figure, nous allons davantage nous appuyer sur la capacité du DT-18 à transmettre des données à la station au sol en temps réel et ainsi faciliter l'intervention, intervient Michaël de Lagarde. Les applications sont multiples. Nous avons ainsi assuré la surveillance préventive de gazoducs pour GDF et GRT Gaz. Nos drones ont également effectué une mission de surveillance d'incendie pour le Service départementale d'incendie et de secours (Sdis) de Haute-Garonne.”
Delair-Tech : une entreprise d'avenir…
En novembre, 3 millions d’euros ont été injectés pour accélérer la croissance de Delair-Tech sur le marché du drone civil professionnel. “Nous avons pu ainsi constituer un outil de production industriel capable de fabriquer 100 drones cette année, annonce Michaël de Lagarde. Ce qui nous permet d'envisager de vendre nos solutions à l'international. Un nouveau drone – le DT 26 – est également en cours d'essai. Nous visons un lancement commercial pour l'été 2014. Il s'agira d'une version plus robuste du DT-18 puisque ce mini-drone devrait pèse 7 kg. Le DT-26 aura trois heures d'autonomie pendant lesquelles il pourra parcourir jusqu'à 200 km. Il pourra voler aussi malgré des vents de 70 km/h.”